C e n’est plus une vague mais un véritable raz de marée : en 2018, 81,4 % des entreprises du SBF 120 avaient obtenu une autorisation de procéder à des augmentations de capital réservées aux salariés, selon l’étude annuelle publiée en sep tembre par le cabinet Eres. (…)
Lire la suite ici 20191107 Liaisons Sociales EC_PP_625974303
Marc Maouche y intervient sur 2 sujets clés :
- Des salariés écoutés et entendus ? Marc Maouche, président de l’Aasgo, l’association d’actionnariat salarié du groupe Orange : « Avec 5,3 % du capital, 9 % des voix, mais, en réalité, un poids représentant entre 10 % et 12 % lors des votes en assemblées générales, les salariés, deuxième actionnaire de l’opérateur téléphonique après l’État, sont écoutés », rappelle-t-il. À leur actif : avoir obtenu un bon équilibre sur la répartition de la valeur ajoutée, entre augmentation de la masse salariale, investissements et rétribution des actionnaires. En 2019, l’enveloppe dédiée par l’opérateur aux augmentations de salaires a ainsi progressé de 3 %, un taux au-dessus de la moyenne
- Des contreparties salariales ? » La politique d’actionnariat salarié fait partie de la responsabilité sociale des entreprises (RSE) », estime Marc Maouche. Orange, comme d’autres groupes d’ailleurs, travaille à définir et à faire voter la raison d’être du groupe, lors de la prochaine assemblée générale.